Utsuri Un koi au corps noir et aux accents colorés. Le koi sera noir avec de l’orange, du blanc ou du jaune. Utsuri signifie « reflets » en japonais. Les Utsuri doivent avoir des zones inversées de chaque couleur. Les Utsuri doivent avoir
Introduction La carpe Koï est un poisson d'ornement initialement élevé au Japon. Elle appartient à la même espèce que la carpe et se distingue des poissons rouges par la présence de barbillons. Qui est-elle ? Morphologie Taille moyenne 50 cm Taille maximale 120 cm Forme Ovoïdale Comment reconnaître la carpe Koï ? Ce poisson a la particularité de posséder plusieurs paires de barbillons qui lui permettent de fouiller le fond et de détecter les aliments ainsi déplacés. La koï est définie comme une sous-espèce de la carpe Cyprinus carpio carpio. Élevée et sélectionnée depuis des siècles au Japon, elle présente aujourd'hui de nombreuses variations de couleurs réparties en différentes variétés dont voici quelques exemples Koï Beni Ginga Koï Beni Kikokuryu Koï Goromo Différences entre mâles et femelles Le dimorphisme de cette espèce est bien marqué. La femelle est plus grande que le mâle, elle possède également un abdomen plus rebondi. Mode de vie & Comportement Sociabilité vivant en banc territorialité Non Mode de vie Diurne Tout comme la carpe commune, la carpe Koï est un poisson omnivore qui se nourrit de crustacés aquatiques, d'insectes de vers, de plantes, d'algues et de graines. Sa technique d'alimentation qui consiste à retourner la vase peut entraîner une augmentation de la turbidité de l'eau, ce qui limite la pénétration des rayons lumineux nécessaires à la photosynthèse et qui limite par voie de conséquence l'importance des populations microbiennes. La turbidité modifie la couleur de l'eau, ce qui entraîne une augmentation de la température de l'eau et donc la vitesse d'évaporation. Mode de reproduction Espèce migratrice Non La carpe Koï est un poisson ovipare qui pond en eau libre. Espèce inoffensive Cette espèce ne présente pas de danger particulier pour l'Homme en cas de rencontre dans son milieu naturel. D'où vient-elle ? Contenu publicitaire Quel est son habitat ? Caractéristiques du milieu naturel Température 10 - 25 °C pH acidité - 8 gh dureté 3 - 15 Présentation du biotope A l'instar de la carpe, la Koï apprécie les zones lentique, c'est à dire les écosystèmes d'eaux douces avec un courant faible ou nul. Ainsi, lorsqu'elle est relâchée en dehors des bassins, elle se maintient principalement dans les lacs, les mares et les étangs. Espèces du même biotope Esturgeon du Danube Acipenseridae tanche Cyprinidae Enteromius sylvaticus Cyprinidae rasbora arlequin Cyprinidae Betta channoides Osphronemidae bouvière Cyprinidae Previous Next Magasins partenaires proches Maintenance en aquarium Déontologie Fishipédia soutient la pratique d'une aquariophilie responsable et respectueuse de l'environnement. Nous encourageons la maintenance si celle-ci est motivée par le désir de comprendre le fonctionnement biologique du vivant et si elle est réalisée dans le respect de la vie animale. Nous pensons que l'aquariophilie est une ouverture à la découverte des milieux aquatiques, en particulier d'eau douce, et que cette connaissance est nécessaire pour mieux protéger et respecter ces environnements. Logiquement, nous réfutons l'achat compulsif d'animaux qui ne trouveraient pas une place suffisante et / ou adaptée dans l'aquarium hôte. Recommandations générales Volume min 6000 litres Population min non renseigné Température 10 - 25 °C pH acidité - 8 Caractéristiques Difficulté d'élevage modéré Robustesse robuste Comportement pacifique Disponibilité très courant Maintenance en bassin Cette espèce est un poisson d'extérieur qu'il est préférable de maintenir en bassin. Il tolère une température comprise entre 10 °C et 25°C pour un pH allant de à 8. Cohabitation & Environnement La carpe Koï ne se soucie guère de ses voisins. C'est un poisson paisible qui s'accomode très bien de la vie en bassin. La plupart des cyprinidés rencontrés dans nos rivières peuvent évoluer à leurs côtés gardon, brême, spirlin.... Etant un poisson vivant en banc, il convient de mettre au moins 5/6 individus dans un bassin de 5000 litres minimum. La maintenance en groupe est recommandée pour s'assurer de leur bien-être. Les carpes Koï atteignent des tailles considérables, parfois supérieures à 60cm. Elles sont beaucoup plus corpulentes que les poissons rouges. Dans ce contexte, il est important de prévoir un bassin de bonne taille pour envisager leur maintenance. Pour augmenter les chances de reproduction et éviter les risques de prédations oiseaux, chats..., nous vous recommandons d'installer des plantes palustres et des plantes aquatiques. Vous pouvez également faire pousser quelques nénuphares. Il est conseillé d'installer une pompe pour améliorer la qualité de l'eau. Avec le temps, les carpes Koï qui remuent régulièrement le fond de l'eau entraîneront une augmentation de la turpidité de l'eau et une baisse du taux d'oxygénation. Une filtration conséquente est indispensable. A savoir, les petits filtres à mousses classiques s'avèrent rapidement obsolètes et conduisent souvent les débutants vers l'échec. Certaines variétés sont plus sensibles que d'autres à la pollution de l'eau. Il est important de bien se renseigner avant de les installer dans votre bassin. Conseils pour la maintenance en eau basique La carpe Koï vivant naturellement dans une eau basique, la présence de roches calcaires de type meulière ou travertin améliorera son environnement. Il est également conseillé d'ajouter du sable avec un apport de sels spécifiques pour stabiliser le pH, à jauger en fonction de la dureté de l'eau utilisée. Conseils pour l'alimentation La carpe koï est omnivore. Elle est particulièrement vorace et passe le plus clair de son temps à se nourrir. Protocole de reproduction Protection de la ponte Non Aucun protocole renseigné pour le moment Risques d'hybridation De manière générale, il est conseillé de ne pas mélanger plusieurs espèces d'un même genre ou différentes variétés d'une même espèce pour éviter les risques d'hybridation. Apprendre en s'amusant Entretenir son aquarium Découvrir les milieux Pour aller plus loin Espèces de la même famille Paedocypris progenetica Cyprinidae barbeau fluviatile Cyprinidae microrasbora galaxy Cyprinidae Danio perlé Cyprinidae barbus à 6 bandes Cyprinidae suceur de pierres Cyprinidae cyprin arc-en-ciel Cyprinidae néon du pauvre Cyprinidae Previous Next Sujets qui pourraient vous intéresser Où acheter ce poisson sur la toile ? A lire sur la toile Sites partenaires en aquariophilie Sources & Réalisation Participation & Validation L'équipe de Fishipédia et les contributeurs spécialistes s'engagent à apporter un contenu de haute qualité. Cependant, bien que l'information soit issue de sources scientifiques ou de témoignages d'expériences de spécialistes, les fiches peuvent contenir des imprécisions. Intéragir avec Fishipedia Pour entrer en contact avec notre équipe ou participer à notre projet. Modèle de fiche et contenu © Fishipedia - Reproduction non autorisée sans demande préalable - ISSN 2270-7247 - Dernière mise à jour le 21/08/2022 ©
Commentreconnaître les vrais espèces des carpes koï ? Connaitre un vrai Koï c’est bien identifier chaque variété a part Identification des variétés de koïs (Termes japonais relatifs au koi) L'anatomie de la carpe koï Auteur Philippe de Vries Chapitre I Partie externe suite et fin Selon les différentes espèces de poisson, la forme, la position, la constitution de la bouche est adaptée à la recherche et à l’exploitation de la nourriture propre à chaque espèce. Elle peut être conformée pour sucer, engloutir, pincer, gober, saisir, broyer ou même estoquer. Pour la carpe koï, la présence d’un petit os le kinéthmoide permet à la bouche de la carpe d’être protractile ce qui veut dire que ses lèvres avancent, ce qui lui permet de ramasser les plus gros aliments. Bouche protractile en action En fonction de leur environnement fond du bassin et sources de nourriture disponibles, les carpes pourront avoir soit des lèvres très dures, soit au contraire des bouches moins charnues et plus fragiles il faudrait en tenir compte pour le choix de nourriture à donner lors de la distribution. Pour la nourriture plus fine, elles aspirent un volume d’eau puis font le tri en recrachant les composants indésirables sable, gravier …. On dit aussi que les carpes peuvent peigner l’eau avec leurs branchiospines et en extraire les grandes formes de zooplancton 2 mm et plus. La carpe koï a-t-elle des dents ? Oui, mais pas dans la bouche ! La carpe koï possède des dents au niveau du pharynx, on les nomme des dents pharyngiennes. Forme de l’ossature de la mâchoire avec des dents Se trouvant dans le gosier, ces dents sont utilisées pour moudre très finement la nourriture. Les dents ressemblent à des molaires et permettent de broyer les aliments les plus durs contre une cornée appelée meule » ou plaque masticatrice » placée en face vers le haut. Elles sont régulièrement renouvelées et il n’est pas rare d’en voir au fond d’un bassin. Des études scientifiques ont démontré qu’a titre de comparaison, et pour relativiser la dureté d’une nourriture, une mâchoire humaine est sept fois moins puissante une dizaine de kilos au cm². Os de la mâchoire supportant les dents Conclusions Les aliments sont saisis à l’aide de la bouche par succion ou aspiration plus ou moins 40 cm/s, les particules sédimentaires, organiques, minérales et/ou alimentaires se retrouvent dans l’appareil bucco pharyngé qui sépare et trie les parties nutritives. Les particules sont regroupées, interviennent ensuite une trituration puis une mastication efficace par les dents pharyngiennes et enfin un tri au niveau des branchiospines et rejet du matériel non consommable en particulier minéral par les ouvertures operculaires. Petite info Il arrive d’apercevoir des carpes koï dégurgiter pendant une certaine période leur nourriture. La cause peut en être le changement de dents du gosier. Véritable appareil respiratoire, les branchies ont deux rôles bien à eux Premier rôle Les branchies permettent d’absorber l’oxygène O2 dissous dans l’eau et de rejeter le dioxyde de carbone CO2. Formées de 4 arcs branchiaux, elles présentent une importante surface de tissus favorisant les échanges gazeux. Les filaments des branchies rentrent en contact avec l’eau, absorbent l’oxygène, transmettent l’oxygène aux tissus qui à leur tour transmettent aux vaisseaux sanguins. Le sang et l’eau sont quasiment en contact direct, car seule une couche des cellules épithéliales les sépare. Cette couche est très fine un micron ou 1 µm = 1/1000 millimètre donc 1000 µm = 1mm. L’eau rentrant par la bouche est expulsée à travers les branchies, les filaments branchiaux jouent le rôle de filtre et retiennent l’oxygène pour l’absorber. Le sang traverse les branchies plus scientifiquement les lamelles branchiales dans le sens opposé au flux de l’eau. En circulant une fois à travers les lamelles, les globules rouges sont étirés afin d’augmenter leur surface. Ensuite, ils absorbent l’oxygène et le transportent à tout l’organisme. Le sang circulant dans l’organisme se décharge de l’oxygène et récupère le gaz carbonique pour extraire celui-ci par les branchies. Donc en résumé, pendant le passage de l’eau à travers les branchies, les lamelles branchiales s’emparent d’une partie de l’oxygène qui est contenue en dissolution et lui rendent , en échange une quantité équivalente de gaz carbonique, le cycle est complet. Les branchies sont fragiles et donc il est très important de maintenir nos carpes koï dans un élément liquide sain et bien équilibré. En cas de problème, la couleur des branchies peut nous indiquer plus ou moins ce qui se passe - des branchies saines ont la couleur rouge brillant - des branchies brunâtres et décolorées nous indiques qu’il y a probablement une asphyxie nitrique - des branchies blêmes nous démontrent une anémie probable - des branchies présentant des glaires pâteux ou une muqueuse sur les extrémités nous indiquent qu’il y a probablement une infection parasitaire, une mauvaise qualité de l’eau et/ou une détérioration de l’eau par des médicaments. Deuxième rôle Les branchies interviennent aussi dans l’osmorégulation du poisson. L’osmorégulation, c’est le procédé du maintien du taux eau/sel et excrétion. Les poissons ont besoin d’une quantité de sel dans leur organisme et tissus, le sel se trouvant dans l’eau est absorbé par les tissus, d’où une quantité d’eau rentre dans l’organisme et ainsi alimente l’organisme du poisson en sel ce sont des sels minéraux et non du chlorure de sodium. Comme la concentration des sels est plus importante dans les tissus et les liquides physiologiques que dans le milieu aquatique ambiant, les branchies ont tendance à absorber l’eau et à rejeter les sels ce processus s’appelle osmose et diffusion. L’excédent d’eau absorbé par les branchies est excrété par les reins sous forme d’une urine fortement diluée. Ensuite les cellules branchiales recommencent à prélever les sels de l’eau afin d’équilibrer la concentration de sels dans les tissus et les liquides physiologiques. L’excrétion de l’ammoniaque va de paire avec la respiration, il y a plus ou moins 75% d’ammoniaque qui sont dégagés par les branchies, le reste dans une urine diluée. Par ce procédé complexe, il faut comprendre que les poissons d’eau douce doivent dès lors tout le temps dégager de l’eau par le canal des reins et des branchies. Si des problèmes se déclarent à ces endroits, les poissons ne parviendront plus à dégager suffisamment d’eau et donc il y aura une tuméfaction du ventre grossissement du ventre, et des yeux, ce qui se traduira en ascite pour le ventre et exophtalmie pour les yeux. Voila une raison principale, en présence d’ascite et/ou exophtalmie, de placer le sujet malade en bac de quarantaine avec du sel. En effet, une concentration de sel fera retirer l’eau du poisson et fera diminuer les tuméfactions. Les branchies et les reins seront soulagés temporairement. Les branchies sont renfermées dans une cavité de la tête, recouverte par des battants faisant en quelque sorte office de soupapes et dénommés Opercules. L’opercule est une grande plaque osseuse qui protège les branchies fragiles et mobiles. Les opercules agissent à la manière d’une valve antiretour qui veille à ce que l’eau viciée et désoxygénée puisse s’évacuer sans refluer dans les branchies. L’operculimétrie, est une méthode mise au point en Grande Bretagne qui est fondée sur la lecture des zones observées sur les opercules, ainsi on peut calculer l’age du poisson. Les zones claires correspondent à la croissance rapide d’alimentation abondante, et les zones sombres correspondent aux périodes de croissance lente où le poisson ne s’alimente pas ou peu l’hiver. Mâle, femelle... qui est qui ? En règle générale, il faut que la carpe koï atteigne une taille supérieur à 20 cm – 25 cm pour reconnaître un mâle d’une femelle, en dessous, il n’a pas atteint la maturité sexuel et le diagnostic est difficile. C’est normalement sauf exception durant les mois d’avril et de mai de la seconde année de vie, que la carpe koï commence à avoir un caractère sexuel bien distinct. Vue d’en haut A partir d’une taille 20 à 25 cm, les organes sexuels de la carpe commencent à se former. Les gonades testicules pour le mâle et ovaires pour la femelle se forment, le ventre de la femelle se relâche et s’arrondi tandis que le ventre du mâle s’amincit et se galbe tout en gardant un profil fuselé et de forme aérodynamique. Le mâle a un museau plus fin que celui de la femelle. Vue de face ou de coté Quand le male est arrivé à sa maturité sexuelle, des bourgeons de reproduction apparaissent sur la tête, les opercules et les nageoires pectorales. Ces bourgeons se trouvent essentiellement le long des rayons des nageoires. Ils s’appellent également protubérances de frai, à ne pas confondre avec une infection d’ichtyophtiriose points blancs. Toutes ces protubérances ne servent que pour la période de reproduction où le mâle frotte sa tête et ses nageoires contre les flancs de la femelle pour l’inciter à pondre. Pour reconnaître, il faut prendre la nageoire pectorale entre le pouce et l’index et frotter de haut en bas. Si au touché la sensation est lisse, il s’agit d’une femelle. Si elle est rugueuse, c’est un mâle. Autre règle générale, les nageoires pectorales de la femelle sont plus fines, courtes et rondes et les nageoires pectorales du mâle s’allongent en pointe. Avec une vue de coté du ventre, on peut voir que l’orifice urogénital des femelles est en forme de T, et chez les mâles en forme de I. Attention toutefois qu’il y a environ 4% a 6 % des carpes koï qui sont hermaphrodites et donc disposent aussi bien d’organes sexuels masculins que féminins et ne peuvent se reproduire sauf exceptionnellement. La taille de la carpe koï Dans de bonne condition, la carpe koï peut atteindre 70 à 75 cm, mais en général, la plupart des mâles ne dépassent pas 70 cm. Seule exception, le grand koï du japon de son nom chagoi et magoi peut atteindre facilement 1 mètre. D’autres exceptions dépendront en réalité de la ligne sanguine c-à-d de des parents génétiques. L’âge du poisson peut être déterminé en comptant les lignes de croissance dans les écailles comme expliqué plus haut dans le paragraphe consacré aux écailles. Ce sont principalement les très bonnes conditions dans lesquelles sont tenues les carpes koï qui permettent à certains spécimens d’atteindre 70 à 80 ans. Un poisson rouge peut atteindre 25 ans s’il est également tenu dans d’excellentes conditions. Chapitre II Partie interne La partie sur l’anatomie interne est plus complexe car les interactions entre les différents organes sont nombreuses. Malgré la taille du poisson, il existe un grand nombre d’organes, tous aussi importants les uns que les autres. Dès lors, il sera peut-être difficile de tout évoquer ici même. La carpe koï possède un squelette complet et d’une importance capitale. On néglige souvent d’en parler. Appartenant au groupe des téléostéens poisson à squelette osseux, ce squelette est essentiel dans l’anatomie interne car il assure la fonction de soutien et la protection des organes délicats le crâne entoure le cerveau et les yeux et des tissus. Ce squelette est formé du crâne, de la colonne vertébrale, des ceintures pectorale et pelvienne, des os associés aux nageoires impaires dorsale, anal et caudale et finalement des côtes protégeant l’abdomen. Crâne boîte osseuse renfermant le cerveau du poisson Opercule plaque osseuse paire recouvrant l’ouverture des branchies Rayon de la nageoire dorsale chaque petit os formant la nageoire avant située sur le dos du poisson Cartilage radial substance élastique relative au radius Epine neurale épine contenant une partie du système nerveux Vertèbre chacun des os formant l’épine neurale du poisson Arc hypuraux os auquel sont rattachés tous les rayons de la nageoire caudale Rayon de la nageoire caudale chaque petit os formant la nageoire extrême du poisson Cote chacun des os formant la cage thoracique Clavicule os de l’épaule pour le poisson en bas du crâne Mâchoire inférieure mandibule. Mâchoire supérieure partie supérieur de la bouche Orbite cavité du crâne dans laquelle repose l’oeil Par une série d’articulations, le squelette assure la mobilité et offre également des points d’ancrage à la musculature. La colonne vertébrale constitue l’axe central du squelette, et c’est tout à fait normal que c’est sur cet axe central que viennent se greffer les principaux blocs musculaires qui donnent à la carpe koï la puissance et l’agilité qu’elle a besoin. Le début de la colonne vertébrale joue un autre rôle important, c’est en quelque sorte l’oreille de la carpe car les sons qui se déplacent dans l’eau font vibrer la vessie natatoire. Les osselets amplifient ces vibrations avant de les transmettre aux cellules sensorielles de la vésicule de l’oreille interne. Petite info Scientifiquement, on a pu déterminer que les poissons possèdent un plus grand nombre d’os que les autres vertébrés. Par exemple, le crâne humain renferme 28 os, le crâne de la carpe koï en possède trois fois plus. Appelé Appareil de Weber, c’est un ensemble de 3 ou 4 petits os qui mettent en relation la vessie natatoire avec l’oreille interne. L’appareil de Weber transmet les variations de pression et les vibrations à l’oreille interne, ce qui permet ainsi au poisson de maintenir son équilibre en vidant ou en remplissant la vessie natatoire. En fait, une partie de l’oreille des poissons est enfermée dans la tête et n’a pas d’orifice externe, d’où ils n’ont pas besoin de pavillons comme chez l’homme. Les vibrassions ébranlent une masse de tissus gélatineux et des cils sensoriels souples et flexibles comme ceux de la ligne latérale. La vessie natatoire est reliée à l’oreille interne qui a comme similitude avec l’homme que la vessie natatoire remplit le même rôle que le tympan chez nous les humains. Nous pouvons donc par ces points dire que la carpe koï, comme beaucoup d’autres poissons, entend bien. Petite info D’après plusieurs scientifiques, les poissons possédant cet équipement ont une acuité auditive supérieure et sont capables de produire des sons. N'hésitez pas à communiquer vos découvertes et expériences via le forum ou en contactant l'équipe Aquajardin. Iln’est pas toujours facile de les différencier. Une carpe mâle est de forme allongée tandis que la femme est plus large au niveau du ventre. Les femelles possèdent un orifice génital en forme de T, les mâles en forme de I (de façon très schématique). Cependant, il peut arriver que votre koï soit hermaphrodites. Les critères pour bien choisir un tatégoi Le but de cet article n'est pas de vous dire quel Koi acheter, car si vous avez un coup de coeur, il faut le suivre. Mais si vous en avez assez de toujours avoir des Kois qui évoluent mal dans le temps et que vous voulez lentement vous faire un cheptel de Kois de qualité, il faut suivre quelques règles. Les caractéristiques d'un Tategoi Le body La forme du corps doit être taillée comme une torpille, avec une tête large et bien longue, la distance entre la fin de la nageoire dorsale et le début de la queue doit être grande, il faut privilégier les Kois les plus grands dans une même fratrie. C'est le critère le plus important pour les Japonais, en contradiction complète avec nos habitudes occidentales où l'on privilégie le motif et la couleur. De gauche à droite forme du corps idéal, tête trop pointue, corps trop maigre, tête trop courte, Koi trop gras. Le triangle de la tête Le triangle formé par la distance entre les 2 yeux et la pointe du nez donne une idée du développement du Koi plus ce triangle est grand plus le Koi va se développer. Les yeux doivent être symétriques et sans protubérances. Certaines lignées présentent des joues proéminentes ce qui leur confère un aspect de bébé même adulte Otafuka. L'arrière de la tête doit être fort, mais pas au point de former un "cou de taureau" qui enlève de l'élégance au Koi. Le bénie Le rouge ou bénie doit être harmonieux et de la même nuance sur tout le corps. Si le Koi a moins de 3 ans, le rouge doit plutôt être orangé. Le fukurin Le fukurin est une caractéristique des Kois que les éleveurs cherchent à développer. Le fukurin est une excroissance de la peau qui, avec l'âge, recouvre les écailles pour former un maillage autour. Ce maillage doit être le plus régulier possible et bien visible sur le Koi. La peau réfléchit plus les rayons de lumière que les écailles, c'est pourquoi la présence d'un bon Fukurin donne plus d'éclat au Koi. Le fukurin ce développe toujours de la tête vers la queue. Le flasch de la caméra montre bien l'éclat de la peau par rapport aux écailles. Le Kiwa et le Sashi Les écailles de diférentes couleurs forment une frontière entre elles. On appelle Kiwa le changement de couleur orienté vers la queue et Sashi quand il l'est vers la tête. Le Kiwa La frontière entre 2 couleurs au niveau des écailles en direction de la queue du Koi. Le dessin doit être net et fort ce qui est un signe de profondeur de la pigmentation. Maruzome Kiwa suit exactement le contour de l'écaille; Kamisori Kiwa coupe l' Maruzome Kiwa est le plus recherché et donne un aspect fleuri au motif. Le Sashi La frontière entre 2 couleurs en direction de la tête s'appelle Sashi. Une écaille blanche couvre à moitié une écaille de couleur. Un Koi de qualité va progressivement faire resortir la couleur qui est caché par les écailles blanches en grandissant. La peau Le blanc de la peau doit être lumineux, et cela, dès le jeune âge. Seule la peau sur la tête peut être plus jaune chez un Koi de moins de 2 ans. En effet, dans ce cas, la peau n'a pas encore assez d'épaisseur et laisse transparaître la couleur des os du crâne qui lui donnent cet aspect. Les Kois trop exposés aux rayons du soleil ont la peau qui vieillie plus vite. L'Ozutsu La base de la queue est un signe important sur le développement futur d'un Koi. Elle doit être large et la distance entre la fin de la nageoire dorsale et le début de la nageoire codale doit être grande. Le sumi Les taches noires des Sanke et Showa ne doivent pas, pour un koi de 2 ans, être complètement visible, mais plutôt en profondeur dans la peau. Les tâches déjà apparentes doivent être d'un noir encre, signe d'une bonne évolution prévisible. Au contraire, un noir intense sur un Koi jeune signifie souvent une mauvaise évolution dans le temps et la disparition probable des plaques de Sumi. Le sexe Un Koi mâle est en général plus "beau" jeune, mais il risque de vieillir plus vite qu'une femelle avec pour conséquence une diminution de la brillance de ses couleurs. De plus, un mâle ne deviendra jamais aussi grand qu'une femelle. La différence est visible à partir de 2 ans et, avec de l'expérience, facile à voir. Le mâle est plus allongé et souvent plus coloré, ses nageoires pectorales sont rondes. Une femelle mettra plus longtemps à développer ses couleurs, les nageoires pectorales sont plus petites et plus allongées. Les défauts de la peau Le Shimi De petits points noir de la taille d'une tête d'aiguille peuvent apparaitre n'importe où. Ils peuvent aussi disparaitre à nouveau avec le temps. Certains Kois comme les Asagi, Ochiba et Hi Utsuri sont plus exposés à ce type de problèmes. On peut exciser ces points sur les Kois d'une certaine valeur. Les traces de carotine Des traces orangées peuvent apparaître sur le blanc de la peau ou sur les écailles. Ce phénomène est souvent lié à un excès de spiruline dans la nourriture et peu à nouveau disparaitre en modifiant celle-ci. Le choix d'un Koi Pour qu'un Koi présente toutes les qualités requises, il faut un nombre important de sélection. Les Kois de 4-5 ans de qualité ne sont que le résultat de cette sélection et ont donc un prix très élevé. A partir de Nissai 2 ans le choix est plus facile car l'on voit déja le devenir du Koi, mais dans ce cas aussi le prix est souvent déjà élevé. Beaucoup se tournent vers les Kois de 1 an Tosai qui sont moins chers, mais le risque est grand d'une évolution qui ne soit pas celle espérée… Il faut essayer de retrouver les caractéristiques décrites plus haut et surtout choisir un Koi avec un body prometteur. Pour cela, il vaut mieux opter pour un Tosai dont la partie la plus large se situe au niveau des ouïes, plutôt que derrière les nageoires pectorales en s'assurant toutefois que ceci n'est pas la cause d'une absence de nourriture chez le revendeur. Tosai au corps parfait alors que l'autre est trop large. Conclusion Une femelle pond plus de oeufs. Les éleveurs japonais font, au cours de la première saison, trois à quatre sélections pour ne conserver dans le meilleur des cas, que 500 Tosais. Sur ces Tosais, 400 sont proposés à la vente et les 100 meilleurs restent une année de plus. Au bout de la deuxième année les 10-20 meilleurs sont gardés pour une troisième année et les autres vendus. Sur ces Kois restés au Japon au bout de la troisième saison, l'éleveur va garder 1-5 Kois, soit pour des concours ou pour l'élevage, les autres sont vendus. Toute ces manipulations demandent du temps et donc de l'argent ; c'est pourquoi un Koi de qualité d'un certain âge coûte cher. Les Tosais pas cher que l'on trouve chez nous ne sont que des Kois qui ne rentrent pas dans les critères des éleveurs. il ne faut donc pas s'attendre à les voir se transformer en des Kois exceptionnels en grandissant. Certains magasins partent du principe qu'un Koi cher est forcément un Koi exceptionnel ! Or, pour apprendre à reconnaitre un Koi de qualité, il faut voir un maximum de Kois, fréquenter les concours et surtout ne jamais oublier que dans un bac de Kois de moindre qualité, il y en aura toujours un "plus beau" que les autres, mais que celui-ci ne sera rien dans un bac de Kois de qualité. Copyright Koiconnect

Unecarpe Koi, appelée tancho, entièrement blanche avec une tache parfaitement ronde et rouge sur la tête comme le soleil levant du drapeau national nippon, peut se négocier une petite fortune. Il existe d'autres carpes

Jumelez-lesDécouvrez leur physiqueRegarder la danse de l'amourSentir leurs osLes colombes font des animaux de compagnie moelleux qui sont facilement apprivoisés et dressés à la main. Les tourterelles à collier et les tourterelles sont les races les plus courantes vendues comme animaux de compagnie. Il est impossible de faire la différence entre les mâles et les femelles juvéniles sans un test ADN. Une fois que vos colombes ont atteint leur maturité sexuelle à l'âge de 6 mois environ, vous serez en mesure de faire la différence entre les hommes et les femmes avec une observation moyen le plus sûr de distinguer les colombes mâles et femelles est d'en placer deux dans chaque cage. La méthode prend de quelques semaines à quelques mois et s’effectue plus facilement au printemps, lorsque le temps est clémente et qu’il fait naître des colombes. Fournissez un nichoir à chaque paire, qui peut être aussi simple qu’un bol en plastique avec une poignée de paille. Chaque colombe femelle pondra deux œufs, donc si vous trouvez quatre œufs dans votre nid, assurez-vous que les deux sont des femelles. L'absence d'œufs après plusieurs mois signifie que les deux sont des mâles et deux signifient un mâle et une leur physiqueLes colombes femelles sont légèrement plus petites que les mâles dans la plupart des races et pèsent généralement environ 20% de moins que les mâles. La femelle se distingue facilement par sa silhouette élancée avec une tête gracieuse posée sur un cou élancé. Par contraste, le mâle est plus large dans la poitrine, avec un cou épais et une narine plus prononcée sur son bec. Sa tête a un profil plus arrondi du côté où la femelle est légèrement la danse de l'amourRegarder une paire de pigeons de courtoisie laisse peu de doute sur qui est le mâle. Il approche généralement la femelle avec des pas hachoirs ponctués de coups de tête et de roucoulements élaborés. Il gonfle ses plumes et se cambre tandis qu'il traîne ses ailes et défile devant elle. Si elle est réceptive, la femelle traîne sa queue sur le sol et s'approche de lui sur quelques pas, accroupie près du sol en vue de l'accouplement. Le mâle la monte par derrière pour consommer l' leurs osIl existe plusieurs méthodes scientifiques permettant de déterminer si une colombe est un homme ou une femme. Si vous tournez la colombe sur le dos et sentez délicatement les os du bassin entre ses jambes, les mâles sont généralement pointus et rigides, là où les os de la femme sont arrondis et souples pour permettre la ponte. Examiner l'évent d'un oiseau sous sa queue est une autre méthode assez fiable, mais elle devrait être effectuée uniquement par un manieur expérimenté, car il est facile de blesser l'oiseau. La méthode la plus fiable, cependant, consiste à emmener votre oiseau chez le vétérinaire pour un test ADN. Vidéo comment reconnaître le mâle et la femelle tourterelle en pratique. Vous Pouvez Également Être Intéressé Par ✔ - Les Étapes De La Grossesse Chez Les Pitbulls ✔ - Macaroni Penguin Facts For Kids ✔ - Signes De Travail Et De Grossesse Dans Un Chihuahua Sujet Re: male ou femelle ??? Mar 17 Oct - 5:50. salut. -oui parfaitement quand tu prend le pigeon a deux mains et que tu lui leve la tete la femelle leve la queue alors que le male la baisse. -sinon la tete du male est plus plate que la femelle. Le frai Auteur Kathy61 Je voudrais préciser que j'ai écrit cet article en grande partie grâce à l'observation de mes poissons vivant actuellement dans un bassin de 6 M3 6000 L. Le but de cet article est avant tout de renseigner les personnes, qui ont des poissons rouges en bassin, de la manière la plus simple possible sur la reproduction de ces espèces. Le frai, c'est le nom que l'on donne à la période de reproduction des poissons et des batraciens. La définition du dictionnaire est la suivante "Action de frayer, acte de la fécondation chez les poissons. Le frai des poissons. Le temps du frai, l'époque où les poissons frayent." Même si les poissons peuvent se reproduire en aquarium, je ne parle ici que du frai des poissons rouges en bassin car en aquarium, le frai des poissons est totalement perturbé, même si on peut créer de manière artificielle des changements propices au frai changement des températures, de la luminosité et de la durée de l'éclairage. Le frai des carpes koï est très proche de celui des poissons rouges mais plus tardif, avec moins de périodes de frai et surtout beaucoup plus impressionnant à voir, car beaucoup plus "speed". Cet article concerne donc uniquement le frai des poissons rouges vivant en bassin. Quand les poissons rouges sont-ils aptes à frayer ? Les poissons qui sont aptes à frayer sont les poissons adultes qui ont au moins 2 ans et parfois 3 pour les femelles. Quand le mâle arrive a sa maturité sexuelle, des "boutons de noce" sorte de petits points blancs, à ne pas confondre avec la maladie des "points blancs" apparaissent sur la tête, les opercules et les nageoires pectorales. Ces "boutons de noce" s'appellent aussi "protubérance de frai". Lorsque la femelle est prête à pondre, son ventre s'arrondit, surtout vers le bas du ventre, au niveau de la nageoire anale. Les femelles ont généralement le ventre un peu plus rond que celui des mâles, même hors période de frai. Par ailleurs, la forme de la zone génitale à la base de la nageoire anale est différente, elle est creuse chez le mâle et bombée avec une excroissance tubulaire pour la femelle. Il faut savoir que si votre bassin est suffisamment grand et avec des plantes, le problème principal que l'on rencontrera c'est la surpopulation, car les PR se reproduisent facilement et très souvent sur une période assez longue de mars à fin juillet. Plus le bassin est grand et bien planté, plus les oeufs ont de la chance d'échapper à la voracité des poissons de bassins qui vont se faire une joie de les manger. La femelle mange ses propres oeufs dès qu'elle a pondu et le mâle également. Ne pas confondre le frai avec le comportement des poissons juste après la distribution de nourriture ! Certains PR engagent des courses poursuites juste après avoir mangé, ça ne dure pas très longtemps et surtout à la différence du frai, tout le monde poursuit tout le monde sans distinction de sexe. Ca donne parfois de jolies figures et les poissons forment comme un cercle puisque chaque poisson poursuit celui qui est devant lui. Ce comportement se poursuit d'ailleurs bien au delà de la période de frai mais n'a pas lieu durant la saison froide, même si on nourrit encore un peu les poissons durant cette période. La période du frai chez le poisson rouge en bassin Il s'agit donc du PR dit "commun" Poisson rouge commun, poisson jaune, comètes, shubunkin et sarasa. Bref tous les "poissons rouges" pouvant vivre en bassin toute l'année. La période du frai chez les PR vivant en bassin commence assez tôt mais va dépendre de la température de l'eau. En règle générale, ça commence au mois de mars et ça se termine fin juillet. Durant ces quelques mois, il y a plusieurs "périodes" de frai. Le frai ne commence généralement pas, tant que la température de l'eau est en dessous de 15 degrés depuis plusieurs jours. Dans le sud de la France, les PR vont frayer avant ceux qui sont dans le nord de la France. Si le début du mois de mars est doux, le frai peut commencer au début du mois. Cette année, l'hiver ayant été particulièrement rigoureux et le mois de mars assez froid, il a commencé plus tardivement que l'année dernière. Dans ma région Ile de France, la première période a commencé début avril cela dure quelques jours et la seconde période a commencé début mai. On peut donc dire que la période de frai des PR a lieu au moins une fois par mois en fonction de la température de l'eau. Ainsi de mars à juillet, comptez environ 5 à 6 périodes de frai pour les PR contre 2 environ pour les carpes koï. Le frai débute généralement très tôt le matin, c'est la baisse de température de quelques degrés par rapport à la veille qui déclenche le température de l'eau est donc un élément essentiel du déclenchement du frai. Le frai se termine généralement en début d'après midi mais il n'est pas rare qu'il se poursuive toute la journée. La période de frai est donc très éprouvante pour les mâles comme pour les signes avant coureur du frai La veille ou l'avant veille, si on observe bien les poissons, il y a des signes avant coureur qui nous permettent de savoir que la période de frai va commencer. Généralement la veille ou même l'avant veille, les mâles ont commencé à poursuivre les femelles mais pas longtemps et il n'y a pas de ponte, les pontes ayant exclusivement lieu la journée ou dès que le soleil se lève mais jamais la nuit. Le frai n'a donc jamais lieu la nuit. Autre signe annonçant le frai le ventre des femelles s'est considérablement arrondi. Mais le ventre des femelles commence à grossir plusieurs jours avant le frai. Et puis la durée qui s'est écoulée depuis la dernière période de frai est à prendre en compte également. Si des courses- poursuites » ont lieu 8 jours après la dernière période de frai, il est clair que ce sont des simples courses-poursuites mais pas le frai. La température de l'eau est également à prendre en compte pour savoir si le frai peut commencer. Si l'eau est vraiment trop froide, même si cela fait déjà 3 semaines à 1 mois que la dernière période de frai a eu lieu, il faudra attendre un réchauffement de l'eau. Le mâle va aider la femelle à pondre ses oeufs de deux manières 1- En la stimulant par des poursuites Le mâle sait qu'une femelle est prête à pondre par les phéromones qu'elle secrète via son urine. C'est grâce à ses narines que le poisson peut reconnaître l'odeur caractéristique d'une femelle prête à pondre. Pour chaque narine, il y a une chambre olfactive. Du début du frai jusqu'à la ponte, le mâle ou les mâles ne va pas lâcher la femelle d'un centimètre. Parfois, il l'a perd de vue, mais il l'a retrouve assez vite grâce aux phéromones qu'elle dégage. Si plusieurs femelles sont prêtes à pondre, le mâle passe d'une femelle à l'autre en suivant celle qui passera sous son nez.... Sur les photos ci-après, on voit bien comment le mâle place sa tête et donc ses narines sous la femelle. A l'issue des courses-poursuites, la femelle cherche un endroit pour pondre en règle générale, la ponte a lieu dans l'endroit le moins profond du bassin, sur les plantes ou sur les "brosses à frai" si vous en avez placé dans le bassin. Photo Brosse à frai » Ce sont comme des grands goupillons que l'on peut tordre et plier dans tous les sens mais la matière est comme de la soie, c'est très doux. Celle-ci mesure environ 1 mètre de long. Utilité des "brosses à frai" dans un bassin En général, les "brosses à frai" sont très appréciées des poissons qui les préfèrent même aux plantes, surtout si elles sont placées en surface. Ces brosses peuvent servir -soit pour limiter la surpopulation, dans ce cas il suffit de bien les rincer le soir et de les remettre en place pour le lendemain. -soit au contraire pour mettre les oeufs à l'abri il suffit alors de les retirer et de les placer dans un autre bassin prévu à cet effet, sans poisson pour manger les oeufs. Les oeufs collent sur ces brosses synthétiques à frai et il est plus difficile pour les poissons de manger les oeufs se trouvant sur la brosse que sur des plantes. Ainsi, même si on les laisse dans le bassin, les oeufs ont bien plus de chance d'arriver à terme que sur des plantes. Une fois que la femelle a trouvé un endroit pour pondre, le mâle va l'aider à pondre. 2- En lui pressant le ventre à l'aide des ses "protubérances de frai pour l'aider à expulser les oeufs. C'est ainsi que les mâles frottent leur tête et leurs nageoires contre les flancs des femelles pour les aider à pondre. Les boutons de noce ont donc un rôle mécanique puisqu'il s'agit de petites protubérances qui aident les femelles à pondre. En frottant la tête contre les flancs de la femelle, les protubérances aident à la ponte. Ce n'est donc pas le frottement tout seul qui provoque la ponte même si ça aide en soi, mais le frottement à l'aide de ces "protubérances de Frai". Il n'est pas rare qu'une femelle soit poursuivie par 2 voire plusieurs mâles. Tout dépend de la population du bassin. Si il y a plus de mâles que de femelles ou le contraire ou si plusieurs femelles sont prêtes à pondre le même jour. Les femelles ne pondent jamais la totalité de leurs oeufs en même temps mais en plusieurs fois. Chaque salve d'oeufs en contient facilement plus de 500 et la femelle peut pondre 4 ou 5 fois dans la même journée. Ce sont donc plusieurs milliers d'oeufs qui vont être pondus par une seule femelle de plus de 3 ans. La ponte et la fécondation des oeufs Dès que le femelle a pondu, le mâle recouvre les oeufs avec sa semence. On dit alors que les oeufs ont été ensemencés ou fécondés. Les mâles détectent les phéromones via leurs branchies et se mettent à produire du sperme. Les œufs translucides sont fécondés, ceux qui deviennent blanc n'ont pas été fécondés. Si on observe attentivement les poissons durant le frai, on peut très bien voir le moment où le mâle recouvre les oeufs car il tremble de tout son corps et la femelle se débat alors pour se libérer de la pression du mâle. Il n'est pas rare dans ces moments là de voir la femelle sortir de l'eau quelques instants et se retrouver sur le flanc. C'est très impressionnant mais moins que pour le frai des carpes koï. Sur la photo ci-dessous, la femelle est pratiquement hors de l'eau. Il peut arriver qu'une femelle bien que prête à pondre, ne soit pas poursuivie par les mâles car elle émet peu de phéromones. Le mâle passera à côté d'elle mais ne la suivra pas. La femelle devra alors pondre ses oeufs toute seule et si elle n'arrive pas à fondre, il faudra l'aider. On peut arriver à faire pondre une femelle en lui massant doucement le ventre mais cette technique, très stressante pour le poisson, ne doit être utilisée qu'en cas de problème c'est à dire si la femelle n'a pas réussi à pondre. La ponte proprement dite La femelle ne pond jamais tous ses oeufs en une seule fois mais en plusieurs fois. On parle alors de salves d'oeufs. La femelle pond plusieurs centaines d'oeufs par salves et à plusieurs endroits dans le bassin. Chaque femelle à ses préférences et c'est ainsi que sur mes 4 femelles, 3 ont pondus essentiellement dans les brosses à frai avec de temps à autre une ponte dans les plantes de berge. En revanche une des femelles a délaissé les brosses à frai et à pondu un peu partout sur toutes les plantes du bassin que ce soit des plantes de berge donc avec juste 10 cm d'eau ou sur des plantes à 50 cm de profondeur et même sous la cascade. Lorsque les femelles pondent, elles sont généralement suivies par tous les autres poissons du bassin qui attendent avec impatience la ponte pour dévorer les oeufs. Mais dans un grand bassin avec peu de poissons, tous les oeufs ne pourront pas êtres mangés donc attention à la surpopulation. Sur des milliers d'oeufs ainsi pondus par quelques femelles, ce sont que quelques dizaines d'alevins qui arriveront à survivre. Mais pour un bassin comme le mien avec la population actuelle 4 femelles et 2 mâles adultes, quelques dizaines d'alevins à chaque période de frai, ça fait quand même, au bout du compte, si on laisse faire la nature, une soixantaine d'alevins dans le bassin en fin de saison ! Les blessures durant le frai Il n'est pas rare que les poissons se blessent durant le frai qui peut-être parfois assez violent. Mais en règle générale, il s'agit surtout d'écailles arrachées et si c'est blanc on ne fait rien, ça repoussera tout seul. En revanche, si la plaie s'infecte et devient rouge ou cotonneuse, il faudra intervenir pour éviter toute complication, notamment une moisissure caractérisée par une sorte de mousse blanche. Il faudra alors enlever cette "mousse" à l'aide d'un coton tige, puis mettre le poisson quelques minutes 3 à 5 minutes dans un bain de sel de l'ordre de 5 gr/l et ensuite désinfecter la plaie avec de la bétadine » et renouveler cette opération si nécessaire. Photo quelques écailles arrachées mais rien de grave N'hésitez pas à communiquer vos découvertes et expériences via le forum ou en contactant l'équipe Aquajardin. Engénétique, un hybride est un organisme issu du croisement de deux individus de deux variétés, sous-espèces (croisement intraspécifique), espèces (croisement interspécifique) ou genres (croisement intergénérique) différents. L'hybride présente un mélange des caractéristiques génétiques des deux parents (notamment, pour ce qui Élégants, colorés et incroyablement uniques, ce ne sont là que quelques-unes des caractéristiques qui caractérisent le plus les poissons Combattant femelle ou le poisson Betta Splendens femelle, mais quelles sont leurs caractéristiques ? comment peut-on les différencier d'un poisson Combattant mâle ? Ces questions et bien d'autres seront résolues dans cet article de PlanèteAnimal, dans lequel nous montrerons les caractéristiques physiques et comportementales du poisson Combattant femelle, ainsi que toutes les techniques pour savoir comment reconnaître le poisson Combattant mâle ou femelle. Le poisson Betta Splendems, populairement connu sous le nom de poisson Siam ou poisson Combattant appartenant à la famille des Anabantidae, se distingue également comme l'un des poissons les plus agressifs, tant avec des poissons de la même espèce qu'avec des poissons d'autres espèces différentes. Par conséquent, il est essentiel de connaître leurs soins, leurs besoins, leur cohabitation dans l'aquarium pour profiter d'un animal heureux et sans stress. Et pour cela, la première chose à faire est de choisir le sexe qu'aura votre poisson Combattant, alors continuez à lire et découvrez tout sur le Poisson combattant femelle et ses caractéristiques. Index Poisson combattant femelle Types de poisson Combattant femelle Poisson Combattant, mâle ou femelle comment les reconnaître ? Poisson combattant femelle Jusqu'à ce que la maturité sexuelle soit atteinte, il est extrêmement difficile de savoir si un poisson Betta ou poisson Combattant est mâle ou femelle. Cependant, une fois obtenues, les différences entre elles sont vraiment visibles et un poisson Combattant est facilement poisson Combattant femelle, un physique particulierLe poisson Combattant femelle appartient à la famille des Belontiidae et vit principalement au Cambodge ou en Thaïlande. Le Betta femelle mesure 5 centimètres, alors que le poisson Combattant est plus grand, 7 centimètres. Le poisson Combattant femelle est également poisson Combattant mâle est plus volumineux que le poisson Combattant femelle. Le poisson Combattant femelle est ainsi plus mince, a un corps plus couleurs du poisson Combattant femelle ont tendance à être plus ternes et plus discrètes, passant beaucoup plus inaperçues que les tons brillants et relevés des mâles. De même, bien que les nageoires du poisson Combattant femelle présente les mêmes caractéristiques que celles du poisson Combattant mâle en termes de forme, comme la présence de rayons dans la queue en couronne, diffèrent en taille. Ainsi, le poisson Combattant femelle a des nageoires caudales, anales et dorsales plus poisson Combattant femelle a également une caractéristique bien précise le tube ovipositeur, situé au fond du poisson et où les œufs sont produits. Cette partie est présentée à l'œil humain comme une tache ou un point blanc arrondi, situé entre les nageoires ventrale et différentiel du poisson Combattant femelleEn général, le poisson Combattant femelle a tendance à être moins agressive que le poisson Combattant mâle et peut coexister dans le même aquarium, à condition que l'aquarium du poisson Combattant remplisse les conditions appropriées de taille et d'enrichissement environnemental. Cela ne signifie pas pour autant qu'il ne soit pas possible d'avoir quelques altercations entre eux en raison de problèmes hiérarchiques. Image Types de poisson Combattant femelle Bien que nous appelions habituellement tous les poissons Combattants par ce nom, la vérité est qu'il existe différents types, chacun avec une morphologie différente. Ainsi, afin de préciser les caractéristiques du poisson Combattant femelle, il est important d'apprendre à identifier le type de poisson Betta Splendens ou poisson Combattant que vous avez devant vous afin d'offrir les meilleurs soins. Actuellement, nous trouvons plus de 10 types de poisson Combattant femelle, cependant, les plus courants dans les aquariums sont les suivants Poisson Combattant Queue voilée ou Veil tail - C'est le poisson Combattant femelle le plus courant et se caractérise par une nageoire caudale en forme de Combattant Queue demi-lune ou Betta Halfmoon - Cest l'un des poissons Combattants les plus frappants, il a une spectaculaire nageoire caudale et dorsale arrondie qui, allongée, forme un ré ou une demi-lune. Généralement, ce poisson Combattant est bleu. Poisson Combattant Queue de couronne ou Betta Crowntail - Il se distingue des autres poissons Combattants ou Betta Splendens par les pointes ou les raies qu'on trouve sur ses nageoires et sa queue, créant une image semblable à celle d'une Combattant Double queue ou Betta double tail - Malgré son nom, ce poisson Combattant femelle présente une seule queue mais a une nageoire caudale divisées en deux, simulant une "queue fendue" ou une"double queue". Le poisson Combattant est généralement rouge. Bien qu'il y ait tant d'espèces de poisson Combattant femelle, tous les mâles et toutes les femelles ont des caractéristiques physiques communes qui nous aident à les différencier. Celles-ci sont illustrées ci-dessous. Si vous venez d'adopter un poisson Combattant femelle, nous vous offrons notre petit guide sur Les soins du Poisson Combattant de PlanèteAnimal. Poisson Combattant, mâle ou femelle comment les reconnaître ? En général, différencier un poisson Combattant mâle ou femelle est une tâche simple, la complication se situe lorsque les deux poissons Combattants sont encore très jeunes. Il faudra donc attendre qu'ils atteignent la maturité sexuelle et ensuite regarder les couleurs des poissons et la taille de leurs Combattant mâle ou femelle, les traits physiques qui les différencientUne fois l'âge adulte atteint, c'est-à-dire environ 2 mois, le poisson Combattant mâle, quel que soit le type auquel il appartient, est plus volumineux que la femelle, ce qui constitue la première différence visible entre les reconnaître un poisson Combattant mâle ou femelle, observez la forme et la taille de leur nageoire. De même, les nageoires dorsale, caudale et anale sont beaucoup plus voyantes que celles du poisson Combattant femelle, non seulement en taille mais aussi en couleur. De cette façon, le poisson Combattant mâle a tendance à avoir des couleurs plus vives que le poisson Combattant femelle, comme généralement le rouge, le bleu et le vert mais ce ne sont pas les uniques couleurs du poisson Combattant !.Par contre, et bien que cette caractéristique soit plus difficile à percevoir à l'œil nu, le poisson Combattant femelle et mâle possède une membrane située juste en dessous des branchies, d'un ton noir ou brun foncé, appelée "barbe". Chez les mâles, cette barbe est beaucoup plus importante et on peut la voir lorsque le poisson est en mode dominant devant un autre poisson Combattant mâle. Chez le poisson Combattant femelle on le voit à peine parce qu'il est plus petit et qu'il ne s'étend généralement Combattant mâle ou femelle, un comportement différentQuant à la personnalité et au comportement du poisson Combattant ou Betta Splendens, le mâle a une attitude beaucoup plus agressive que la femelle face à un autre mâle et ressent le besoin de se battre pour une ou plusieurs femelles du même territoire. Par conséquent, il n'est pas recommandé de rejoindre plus d'un mâle dans le même aquarium, car la cohabitation entre deux poissons Combattant mâle est très compliquée. De même, si vous voulez élever un poisson Combattant femelle et un poisson Combattant mâle ensemble, vous ne devez pas joindre le mâle à la femelle sans une présentation appropriée, car le mâle pourrait l'attaquer de toute façon. Dans ce cas, l'idéal est de séparer l'aquarium à l'aide d'un verre, par exemple, et de placer les deux spécimens dans leurs parties respectives afin qu'ils puissent être observés sans se le poisson Combattant mâle se sent prêt à s'accoupler, il forme un nid de bulles qui attire la femelle et la parade nuptiale est lancée. La Betta femelle est alors prête également à la reproduction. Si vous voulez adopter un poisson Combattant femelle ou mâle, nous vous conseillons notre article sur la cohabitation du poisson Combattant. Voici une vidéo de Nicolas DL pour savoir comment reconnaître un poisson combattant femelle d'un poisson combattant mâle Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables à Poisson combattant femelle et ses caractéristiques, nous vous recommandons de consulter la section Ce que vous devez savoir. Références Betta Fish Anatomy External&Internal Explained. Betta Fish. Disponible en Splendens, Le poisson Combattant Fiche. Bibliographie ARBOLEDA OBREGÓN, D. A. 2006. Crianza y producción del Betta Betta splendens para acuaristas no profesionales. En Revista Electrónica de Veterinaria REDVET. V. VII, nº 4. ISSN 1695-7504. Disponible en ALVES, L. 2008. Efecto de la especie y el color de los oponentes en la agresividad de los machos de Betta splendens. Universidad de Las Palmas de Gran Canaria Facultad de Ciencias del Mar. f55mD. 215 28 113 120 255 161 338 86 389

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